23 juin 2005
Fusion... et confusion...
Fusion et confusion…
Une seule journée, c’est tout ce qu’ils avaient
Pour que leur monde respectif devinssent alliés
L’un de stress adulé et de courses effrénées,
L’autre en quête de calme et de sérénité.
Le premier aimant l’autre, il avait espéré
Le couvrir de cadeaux, un super déjeuner
Courir jusqu’à la ville, s’enivrer de chaleur
Et entraîner avec lui tous ses petits cœurs.
Le second adulant tout autant le premier
Etait pourtant bien différent dans ses pensées
Il rêvait pour cette seule et unique journée
Douceur, fraîcheur et calme dans les bras aimés.
Lorsque le choc se fit entre les deux, unis
Un air frais, un vent chaud et l’orage éclata
Le premier monde depuis si longtemps parti
Ne sentait plus du second, desideratas.
Il se mit à pleuvoir, éclairs de déception
Et c’est seulement alors qu’ils trouvèrent raison
Le premier monde entra un peu dans le second
Et tous deux colorèrent de nouveau l’horizon.
Aujourd’hui le premier va retrouver son île
La trêve fut trop courte et le second, à quai
Va bien sur regretter de ne s’être forcé
De n’avoir pas omis l’équilibre fragile,
Pour le monde enchanté dont le premier rêvait
Pour quelques heures à peine, une seule journée…
Une seule journée, c’est tout ce qu’ils avaient
Pour que leur monde respectif devinssent alliés
L’un de stress adulé et de courses effrénées,
L’autre en quête de calme et de sérénité.
Le premier aimant l’autre, il avait espéré
Le couvrir de cadeaux, un super déjeuner
Courir jusqu’à la ville, s’enivrer de chaleur
Et entraîner avec lui tous ses petits cœurs.
Le second adulant tout autant le premier
Etait pourtant bien différent dans ses pensées
Il rêvait pour cette seule et unique journée
Douceur, fraîcheur et calme dans les bras aimés.
Lorsque le choc se fit entre les deux, unis
Un air frais, un vent chaud et l’orage éclata
Le premier monde depuis si longtemps parti
Ne sentait plus du second, desideratas.
Il se mit à pleuvoir, éclairs de déception
Et c’est seulement alors qu’ils trouvèrent raison
Le premier monde entra un peu dans le second
Et tous deux colorèrent de nouveau l’horizon.
Aujourd’hui le premier va retrouver son île
La trêve fut trop courte et le second, à quai
Va bien sur regretter de ne s’être forcé
De n’avoir pas omis l’équilibre fragile,
Pour le monde enchanté dont le premier rêvait
Pour quelques heures à peine, une seule journée…
Photos et textes © L.C
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