24 mai 2005
Pâles heures...
Pâles heures…
Où sont passé les grands instants de tremblements
Les orages violents et le feu du volcan ?
Qui s’est approprié le bleu de mes aurores
Ne laissant derrière lui que des flamboiements mornes ?
On a repeint de gris les murs chèrement conquis
Les sourires tendresse et les rires aboutis
Effaçant toute joie de ces jours que j’abhorre
En me limitant là, liée au pied des bornes.
On doit saler ailleurs des vies pleines d’envie
Aux règles moins dictées, aux lignes moins tracées
La mienne a la fadeur des épices éventés
Des orients éteints et des soleils palis.
Mes mots ne disent plus ce que je leur écris
La maîtresse et la muse ensemble sont parties
Ne restent que des lignes sur papier noircis
Plus comme une habitude… non sens de poésie.
J’ai envie de couleurs, de richesses de rimes
Mais mes pinceaux sont secs comme le bout de ma mine…
Où sont passé les grands instants de tremblements
Les orages violents et le feu du volcan ?
Qui s’est approprié le bleu de mes aurores
Ne laissant derrière lui que des flamboiements mornes ?
On a repeint de gris les murs chèrement conquis
Les sourires tendresse et les rires aboutis
Effaçant toute joie de ces jours que j’abhorre
En me limitant là, liée au pied des bornes.
On doit saler ailleurs des vies pleines d’envie
Aux règles moins dictées, aux lignes moins tracées
La mienne a la fadeur des épices éventés
Des orients éteints et des soleils palis.
Mes mots ne disent plus ce que je leur écris
La maîtresse et la muse ensemble sont parties
Ne restent que des lignes sur papier noircis
Plus comme une habitude… non sens de poésie.
J’ai envie de couleurs, de richesses de rimes
Mais mes pinceaux sont secs comme le bout de ma mine…
Photos et textes © L.C.
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